Just Try To Stay Alive (PV)

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a pluie. Elle coulait à flot depuis le matin même, incessante et douleureuse. Dès qu'il s'était éveillé, Sweeney avait sentit un puissant sentiment d'allégresse l'envahir. Ce qu'il appellait depuis peu ' son élément ' était entrain de balayer la ville de l'odeur nauséabonde de la mort. Ce qu'il considérait désormais comme une partie entière de lui-même dominait la nature, juste là, dehors. Lui qui n'avait pas sourit franchement à quiconque depuis des semaines se leva ce matin là avec une expression de bonheur intense peinte sur le visage. Sans plus attendre il s'habilla d'une manière décontractée, jeta à peine un coup d'oeil à son miroir ( ce qui était inhabituel ) et sortit dans la rue. Il n'y avait personne, ce qui était plutôt normal depuis la guerre. Mais cependant, tout était silencieux, hormis le bruit de la pluie. Et ça, c'était étrange. D'habitude, on entendait des pleurs, quelque fois des appels à l'aide ou des cris de douleurs. Aujourd'hui l'eau était maîtresse, et par conséquent, Sweeney était le maître.

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l n'avait pris ni parapluie, ni capuchon. Sa veste n'avait rien d'impérméable. Et pourtant, il n'avait pas été mouillé d'une seule goutte. Il semblait que l'eau ricochait sur une armure invisible à quelques centimètres seulement de sa peau. C'aurait été très perturbant pour quelqu'un d'extérieur. Mais le fait est qu'il n'y avait personne, à l'instant. Bien qu'il ne soit pas entrain de sourire à pleine dent, ses deux yeux brillaient avec une telle force qu'on devinait sans peine son euphorie. Son pas était vif et il eût tôt fait d'arriver à destination. Car oui; il avait bel et bien une destination. Aujourd'hui, il pleuvait, et Sweeney allait en profiter pour s'entraîner.

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n jour qu'il cherchait quelque chose à faire pour gagner un peu d'argent; ou proposer son aide à des blessés, il avait surpris une conversation entre deux personnes. Dès lors, il avait compris ne pas être le seul à posséder des pouvoirs dans la ville. Très vite, il lui avait paru évident que d'autres personnes encores cherchaient à éliminier les gens tels que lui. Même si cela lui semblait dérisoire, il en avait déduit qu'il fallait se battre pour survivre. Et donc, devenir fort. Et pour devenir fort, il fallait maîtriser le pourquoi on voulait le tuer, à savoir son pouvoir. Le contrôle des liquides.

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e problème s'était posé de savoir quand s'entraîner, et où ? Il avait plusieurs fois exploiter les plages, le pont, et autre endroit. Il cherchait depuis plusieurs jours un endroit dépourvu d'eau, où il y en aurait tout de même eu. L'opportunité était maintenant là ! Il pleuvait, et Sweeney se dirigea d'un pas sec vers le zoo. Lorsqu'il fut devant la cage des singes, entièrement réduite en poussière, Sweet s'arrêta et fixa un banc à moitié écroulé. C'était là qu'il avait embrassé sa première copine. Une mélancolie soudaine s'éprit de lui et son expression d'extase se transforma soudain en douce colère. C'est un véritable raz de marée qui s'abattit sur le fameux banc. Quiconque s'étant trouvé dessus aurait instantanément fini noyé.

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a pluie coulait toujours, et cependant, les seules traces d'humidité sur Sweeney était les larmes qui coulaient le long de ses joues...

Mercredi, journée en milieu de semaine, mais journée de repos pour Teresa. Et en cette journée de repos, il pleuvait, il pleuvait et il pleuvait encore. Décidément le temps n'était vraiment pas agréable. Teresa pensa alors rester chez elle, elle en profiterait pour faire quelque chose qu'elle déteste habituellement ... à savoir, le ménage. Comme cette journée de repos s'annonce complètement nase à cause du temps, autant faire ce qu'on déteste, histoire de boucler la boucle, comme on a l'habitude de dire.
Mais d'un seul coup, la jeune femme se souvient d'une discussion qu'elle avait eu, il y a quelque temps, où elle avait appris que les personnes ayant des pouvoirs s'entraînent habituellement dans l'ancien zoo de l'île de Staten.
Teresa était une des personnes actives qui agissent pour la disparition des individus, à savoir des personnes ayant des pouvoirs. Elle les appelait "les erreurs de la nature", ou encore "les hybrides". La jeune femme les recherchaient activement, mais elle n'avait pas encore eu l'occasion d'aller dans leur "camp d'entraînement", l'ancien zoo. Mais elle savait qu'elle devait être prudente. En effet, à cet endroit se trouvait essentiellement des personnes avec des pouvoirs, donc quelque part plus fortes qu'elle. Elle devait donc ruser. Pour cela, elle savait que le seul moyen était de les observer en étant cachée. Et pour pouvoir le faire, il est indispensable de connaître les lieux. Et cette journée pluvieuse pourrait s'avérer être la meilleure solution.

Teresa décida donc de se rendre dans les lieux. Le ménage se sera pour une autre fois, autant rentabiliser cette journée pluvieuse, se disait-elle. Elle n'avait vraiment aucune envie de faire le ménage dans son appartement. La jeune femme s'est habillée d'une veste imperméable bleu avec capuche et d'un jean. Elle n'a pas pris de parapluie car elle n'en utilse jamais. Elle en avait pourtant un chez elle, mais c'était un cadeau, et les deux seules fois où il a été utilisé, c'est que la jeune femme l'a prêté à une de ses visites.
La chercheuse partit en direction du zoo dans sa petite voiture. La voilà, à présent, arrivée à destination. Elle marcha au hasard, dans cet endroit, étrange et désert. Son visage était tout mouillé, ainsi que ses vêtements. Elle essayait de repérer des endroits où elle pourrait se cacher et observer sans risque, les hybrides s'entraînant.
Mais d'un seul coup, son regard fut attiré par la seule personne qu'elle avait croisé et qui était assis sur un banc, à quelques pas devant elle. Elle se demanda ce que le jeune homme faisait dans ce parc et sous cette pluie, presque immobile. Il attendait sûrement quelqu'un. Ca doit être un délinquant en attente d'une dose, se disait-elle. Elle marchait en direction du jeune homme car elle s'intéressa aux buissons qui se trouvaient derrière lui et pourraient servir pour se cacher.

S

D

I

' Euh... Bonsoir. Qu'est-ce que vous faites, ici ? '

Teresa marchait vers le buisson qu'elle avait repéré. Elle voulait s'assurer de la vue qu'elle pouvait y avoir et en même temps, vérifier que ce dernier soit assez épais et touffu afin qu'elle puisse se cacher. La jeune femme était à présent cachée. Elle ne surveillait pas ce que faisait le jeune homme se trouvant à quelques mètres devant elle, car elle pensa que ce dernier était un junkie. Elle regardait de part et d'autre du buisson.
Mais d'un seul coup, elle fut attirée par un bruit assourdissant. Elle n'en croyait pas ses yeux, elle vit l'horreur. Un rocher en l'air, se trouvant à plusieurs mètres du sol, grâce à un geyser d'eau que le jeune homme avait l'air de contrôler. Elle n'en revenait pas ! Elle avait pris le jeune homme pour un junkie et en réalité, c'était une personne avoir des pouvoir, venue s'entraîner.

Ben, j'ai vraiment pas perdu ma journée, se disait-elle.
La chercheuse avait repéré encore individu avec des pouvoirs, encore une nuisance qu'il fallait éradiquer. Elle fut quelque peu surprise par le style de pouvoir qu'avait celui-ci : le contrôle de l'eau. Jamais auparavant, elle aurait supposé l'existence d'un tel pouvoir.
En voyant ce qu'elle considérait comme l'horreur absolue, la jeune femme ne put retenir ses sensations et elle se dévoila ainsi, contre son gré. Un cri sortit de sa bouche.

"Oh, mon Dieu",

dit-elle. Puis, elle sortit de derrière les buissons car elle était persuadée que le jeune homme l'avait entendue. Elle se dirigea vers ce dernier. Il était assis sur le banc, les yeux fermés. Il les ré-ouvrit quelques instants plus tard et s'adressa à la jeune femme, en lui demandant ce qu'elle faisait dans ces lieux.
Il est clair que la jeune devait très vite trouver une raison pour laquelle, elle pourrait être dans ce zoo désert, complètement trempée à cause de la pluie. Une raison valable devait sortir de sa bouche dans quelques secondes, afin de ne pas éveiller les soupçons du jeune homme.

La même chose que vous, dit-elle. Je m'entraîne pour mieux maîtriser mon pouvoir.

La même chose que vous, dit-elle. Je m'entraîne pour mieux maîtriser mon pouvoir.

H

' Je ne vous avais pas vu agir. Quel est votre pouvoir ? '

S

T

' N'ayez pas peur, je ne vous jugerai pas. '

avait demandé le jeune homme.
Teresa ne put que constater qu'elle s'était mis dans une situation très délicate. Qu'est ce que je vais bien pouvoir inventer. Je dois faire attention à ce que je vais dire car il va sûrement me demander de lui montrer mon pouvoir ; comme si c'était une compétition ou un entraînement collectif.

Bon, quel pouvoir je pourrai avoir ? Je ne peux pas dire immortalité ou guérison, s'il tente de se blesser ou de me blesser, j'aurai l'air fine ... bref c'est pas possible. Je ne vais pas dire que je peux voler, ou que j'arrête le temps, ou encore que je vois dans l'avenir, ou je ne sais pas quoi d'autre : il ne me croira pas. Ah oui, voir dans l'avenir, je pourrai certes inventer n'importe quoi, il pourra pas me contredire ; mais qu'est ce que je lui répondrai lorsqu'il me demandera, pourquoi je m'entraîne dehors, un jour de pluie où tout est désert. Il faudrait vraiment, qu'il soit complètement crédule pour me croire.
En tout cas, tout cela ne me dit pas quel pouvoir je vais inventer. Et ma vieille ! tu t'es mise dans le pétrin, il va falloir que tu te dépasses en ingéniosité.

Mais, d'un seul coup, une idée traversa l'esprit de la jeune femme. Si je lui disait que j'ai le pouvoir de voir différemment, que j'ai une vue avec des rayons x et que je me trouve ici pour m'entraîner à voir les squelettes des animaux morts. Oui, très bonne excuse, se disait-elle.

J'ai une vue qui me permet de voir comme les machines avec les rayons x. C'est à dire que je m'exerce à voir les squelettes des animaux morts, comme une radio. Mon pouvoir n'est pas encore très développé. J'ai parfois du mal à voir les armes cachées sous les vêtements des gens alors que je vois leurs os ou ceux des animaux.

Teresa espérait avoir été convaincante et que le jeune homme n'est pas de doute sur sa sincérité.

Vous vous contrôlez l'eau, c'est bien ça ! Ca doit être aussi intéressant comme pouvoir.

À

'

J'ai une vue qui me permet de voir commeles machines avec les rayons x. C'est à dire que je m'exerce à voir lessquelettes des animaux morts, comme une radio. Mon pouvoir n'est pas encore très développé. J'ai parfois du mal à voir les armes caché dessous les vêtements des gens alors que je vois leurs os ou ceux des animaux. '

H

' Vous vous contrôlez l'eau, c'est bien ça ! Ca doit être aussi intéressant comme pouvoir. '

F

' Hum, oui c'est intéressant. C'est peut-être assez basique comme pouvoir, mais je m'en contente... '

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Teresa s'étonna que le jeune homme ne fit pas de remarque sur ce qu'elle avait dit, sur son pouvoir. Ben, ça a dû marcher, il l'a cru, sinon il lui aurait posé des questions. Tant mieux ! se disait. Il n'est pas curieux et gobe facilement les choses, tant mieux.
Bon maintenant, va falloir que j'agisse car naïf, crédule ou pas ; il n'en reste pas moins un danger pour la société. Si on m'aurait qu'en cet après-midi pluvieux, j'allais trouver quelqu'un ayant des pouvoirs, et en plus et tant mieux pour moi, qui a l'air crédule. C'est mon jour de chance, apparemment !

Bon, ne crions pas trop vite victoire. Il va falloir que je continue à le manipuler intelligemment. Ca serait dommage et du gachis qu'il commence à se méfier.

Ca fait longtemps que vous avez votre pouvoir . Vous l'avez découvert comment ? Le maîtrisez-vous correctement ou parfois commettez-vous des erreurs.
Si je vous pose ses questions, c'est parce que je suis chercheuse et l'équipe de recherche dans laquelle je travaille est en train de mettre au point des médicaments pour ceux qui ont des pouvoirs puissent les contrôler correctement et augmenter leur puissance.
Moi-même, je suis chercheuse et cobaye, si on peut dire les choses comme ça. Avant, il fallait que je me concentre énormément pour ne voir qu'un tout petit espace. A présent, en me concentrant j'arrive à voir une zone beaucoup plus large. Mais, j'ai encore beaucoup de chemin à faire.

Elle s'arrêta quelques secondes puis repris :

Bah, j'espère que je ne vous ennuie pas. J'arrête de parler de moi. En tout cas, n'hésitez pas à me dire si vous aimeriez augmenter la puissance de votre pouvoir

Voilà, Teresa touchait son but. Elle va tout faire pour que le jeune homme la suive à l'hôpital. Elle lui dira qu'elle va lui prescrire un soit disant traitement afin d'augmenter ses pouvoirs. En réalité, son but, n'est autre que de l'enfermer dans une chambre d'hôpital, comme on enferme les fous, pour protéger la société.

La chercheuse souriait au jeune homme, d'un sourire complice, pour le mettre davantage en confiance.

' Ça fait longtemps que vous avez votre pouvoir. Vous ( ... )
À présent, en me concentrant j'arrive à voir une zone beaucoup plus large. Mais, j'ai encore beaucoup de chemin à faire. '

' Bah, j'espère que je ne vous ennuie pas. J'arrête de parler de moi. En tout cas, n'hésitez pas à me dire si vous aimeriez augmenter la puissance de votre pouvoir. '

" Je suis intéressé. "

" Je ne sais pas si j'ai raison de faire ça, mais je vous suis. Après tout, pourquoi pas ? "

Teresa souria. Le jeune homme avait l'air de la croire. Il n'avait posé aucune question et était même partant pour la suivre. Cette attitude surpris quelque peu la chercheuse, mais elle préféra penser qu'elle a été certainement très convaincante. A moins, que ce soit le fait, qu'elle lui ait donné tellement d'informations, que cela le rendit muet et que ce dernier, ne sachant quoi dire, préféra coopérer aveuglement.

Je travaille à l'hôpital de Manhattan. Et c'est vrai que nous recherchons des personnes ayant des pouvoirs pour nos recherches. Mais, c'est vrai aussi, qu'à cause de l'instabilité politique, nous ne pouvons pas faire d'appels publics. Donc, parfois c'est nous même les cobayes ou nos amis ou connaissances.

Teresa s'aperçut qu'elle n'était plus mouillée, alors qu'il pleuvait toujours. Elle se dit que le pouvoir du jeune homme était vraiment puissant. Pourtant, elle ne ressentait rien de sa part, aucune douleur, aucune gêne. C'était comme si le temps était sec. C'était comme s'il n'agissait pas. Alors, elle regarda ce dernier. C'est vrai qu'à première vue, il n'avait pas l'air dangereux. Loin de là, il était même plutôt crédule.

Si vous voulez, et si vous avez un peu de temps, je peux vous amener à l'hôpital. Je vous montrerai alors, un peu mes recherches. Et vous me confirmerez si vous acceptez d'y participer ou non.

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' Si vous voulez, et si vous avez un peu de temps, je peux vous amener à l'hôpital. Je vous montrerai alors, un peu mes recherches. Et vous me confirmerez si vous acceptez d'y participer ou non. '

# Très bien ! Je vous suis #

# Dites-moi, vous étiez déjà chercheuse avant... la guerre ? J'dois dire que cette arrivée de pouvoir a été soudaine pour toute la population ! Les scientifiques avaient-ils prévus qu'un pareil... événement allait survenir ? #

Ben très bien, allons-y. Mais avant, il faut que je passe chez moi pour récupérer des clés. Je vous offrirais une verre, dit-elle en souriant.

Les deux jeunes gens marchèrent vers la sortie du parc. Pendant ce temps, Teresa répondit à la question de son interlocuteur-mutant.

Oui, j'étais chercheuse avant. En fait, j'ai commencé mes études dans mon pays d'origine au Mexique où j'ai eu une bourse au mérite pour venir aux Etats-Unis et poursuivre mes études ainsi que mes recherches. Et depuis, je travaille dans l'hôpital de Manhattan.

Les voilà à présent devant la voiture. La chercheuse invita le jeune homme à y monter, ce qu'il fit. Ils roulèrent à présent en direction de l'appartement de la jeune femme

Pour répondre à votre question sur les pouvoirs. Oui, les pouvoirs sont apparus d'un coup, suite aux explosions. Elles ont modifié les résistances des Hommes. Ils ont été en quelque sorte infectés par ces dernières et leur constitution génétique s'est modifiée. Nous étudions actuellement ses modifications. Mais comme ce sont des gênes différents qui se sont modifiés en fonction des Hommes, les recherches sont assez délicates. Nous essayons de savoir, s'il y a une modification commune, cela simplifierait notre tache. Si nous la trouvons, on pourra envisager de faire un traitement qui permettent aux Hommes de mieux contrôler leur pouvoir, et peut-être, permettrait aussi, à ceux qui n'ont pas de pouvoir d'en avoir.

Curieusement, la chercheuse était assez sincère dans la description de ses recherches. Assez sincère, sauf sur un point : le but de ses dernières. En effet, il n'est pas de mieux contrôler le pouvoir, comme elle le prétend, mais de trouver un traitement pour le soigner en le faisant disparaître, de la même manière, qu'on a trouvé dans le passé, des médicaments guérissant un rhume, la douleur ...

Les deux jeunes gens étaient à présent arrivés devant l'appartement de Teresa. Celle-ci gara sa voiture et invita le jeune homme à la suivre chez elle.

Venez, je vous offre un verre.

(HJ : On continue le RP dans l'appart de Teresa, quartier Brookling, si tu en es d'accord)

' Oui, j'étais chercheuse avant. En fait, j'ai commencé mes études dans mon pays d'origine au Mexique où j'ai eu une bourse au mérite pour venir aux Etats-Unis et poursuivre mes études ainsi que mes recherches. Et depuis, je travaille dans l'hôpital de Manhattan. '

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' Pour répondre à votre question sur les pouvoirs. Oui, les pouvoirs sont apparus d'un coup, suite aux explosions. (...) et peut-être, permettrait aussi, à ceux qui n'ont pas de pouvoir d'en avoir. '

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[ Okeay ! J'te laisse commencer le sujet, vu que j'ignore comment est ton appart'. =D ]