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Quand le monde n’est plus que désolation, il faut payer le prix cher pour survivre.
 
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 Une personne de plus ou de moins [Libre]

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MessageSujet: Une personne de plus ou de moins [Libre]   Une personne de plus ou de moins [Libre] Icon_minitimeLun 26 Nov - 4:08

Revoilà que après plusieurs semaines cloîtrer chez elle, Fay enfin rétablie de toutes ces blessures depuis sa dernière promenade, décida enfin de sortir dehors. Lorsqu’elle franchi le parquet de son immeuble, le soleil l’aveugla tellement il était haut et brillant dans le ciel. Durant les dernières semaines, Fay n’avais pas eu conscience du temps et des jours écoulés. Elle n’avait pas reparlé à Mathis, et elle ne savait même plus si la mort l’avait emporté. Elle avait restée dans son lit, à guérir lentement. Comme on dit, Lentement mais surment. Elle repensait à toute ces choses horrible qu’elle avait subi en quelque temps ; la dévastation de New York, elle-même sous les décombre de sa maison, la découverte de son don, l’attaque par la bande d’homme qui c’était justement à cause d’eux qu’elle avait du se reposer. Elle avait beau être très orgueilleuse, elle ne pouvait s’empêcher de s’avouer qu’elle avait souffert le martyre et qu’elle aurait pu ne pas y échapper. Elle devait comprendre comment tout cela fonctionnait en elle, comment son pouvoir se déclanchait, comment le contrôler lorsqu’elle serait attaquer ou dans les moment opportuns, jusque ou allait c’est limites. Elle ne savait pas comment faire cela, peut-être qu’elle était une genre de X–men des temps d’aujourd’hui. Peu importe elle devait se rappeler comment sa c’était déclancher les deux premières fois. La première fois lorsqu’elle était sous les débris de sa maison, elle était capable de voir ces parents dans la voiture, elle avait sentie une rage et une colère énorme en elle, c’est à ce moment qu’elle avait tout fait exploser. La deuxième fois, elle était couchée par terre dans la rue entrain de se faire donner des coups de pieds à n’en plus finir. Elle se devait de ne pas se plaindre, de ne par crier, elle devait rester forte, comme sa famille lui avait toujours appris. Sa famille… C’était encore à ce moment que son pouvoir c’était déclanché, propulsant tout le monde un peu partout dans la rue et détruisant un immeuble tout près.

Son pouvoir provenait de la haine et la rage. Elle était contrôlée par la rage qui coulait dans sa veine et la haine envers sa famille. Et si elle essayait, si elle repensait à toutes ces choses horribles qui lui avaient fait subir peut-être pourrait elle déclancher son don à nouveau. Pour cette fois-ci sa fonctionnerait peut-être mais si elle se retrouve en combat, elle n’aurait pas vraiment le temps de repenser à tout ceci. Elle devait s’entraîner et au plus vite. Mais comment, quelqu’un pourrait il être son mentor. Cette idée la fît rire. Elle avoir un mentor, alors qu’elle ne se supporte déjà pas vraiment, pff. Mais elle se devait de s’améliorer, mais si elle est seule, elle ne peut pas voir les progrès qu’elle fait, elle ne peut pas s’améliorer en ce donnant des conseils. Elle avait réellement besoin de quelqu’un, quelqu’un qui s’aurait l’aider et lui montrer le chemin du contrôle et de la puissance. Mais bon avant de se donner de fausse idée il faudrait qu’elle trouve une personne apte à ce qu’elle recherche.

Alors marche par marche, elle essayait de s’habituer à la lumière du jour qui était fort éclatante pour ces yeux. Elle était blême et sa devait faire au moins trois semaines qu’elle était enfermée chez elle, rideaux tirer ne laissant aucun rayon entrer. Les rayons chauds lui faisant un grand bien, elle avait l’impression que sa faisait une éternité qu’elle n’avait pas vue le soleil. Elle avait l’impression d’avoir été un vampire, mais seulement pour le fait qu’elle restait dans le noir à ne rien faire, à attendre que sa peau se désenfle, que ses ecchymoses disparaisse, que c’est blessures ouvertes se referment et que finalement son courage reprenne le dessus. Elle avait envie de tournoyer en plein milieu de sa rue, bercer et imbibé du soleil de midi, mais elle se retenait car les gens la prendrait pour une cinglé… Oh et puis zut, qu’est-ce que cela peut bien leur faire, ils ont d’autres trucs plus important à faire. Lentement, elle se mit à tourner sur elle-même, laissant le soleil s’infiltrer dans chaque parcelle de son visage, de ses cheveux, de son corps. Elle riait, oui, elle riait comme une enfant, surment parce qu’elle n’avait jamais rit et que c’était la première fois qu’elle riait. Un moment inoubliable, un moment qui restera gravé à jamais dans son cœur et dans sa mémoire. Elle retrouvait une part d’humanité, une part de vie qu’elle n’avait jamais vraiment vécu.

Après avoir rit et verser quelque larme, elle reprit un peu de sérieux, et avança avec une démarche des plus normal. Elle se sentait radieuse, et elle avait besoin de sentir les éléments qui l’entourait. Il lui manquait juste l’eau… Elle avait le soleil qu’elle considérait comme le feu, la terre qui était le sol où elle marchait, et l’air qui était partout autour d’elle. Il lui manquait simplement l’eau. Elle marchait à travers la ville, essayant de trouver une source d’eau, ou un fleuve ou autre, jusqu'à ce qu’elle arrive au pont. Un pont en ruine, qui pouvait s’effondrer à n’importe qu’elle instant, mais qui était à la fois magnifique et attirant. Elle se sentait renaître, tel un phoenix qui jailli de ses cendres. Elle était attirer par le pont, elle avait besoin d’y aller comme si elle était sur d’y trouver quelque chose, la paix peut-être ? Mais quel genre de paix ? Sa elle n’en savait rien. Elle n’avait plus aucun contrôle sur son corps, qui se laissant emporter par le vent, la faisant trotter sur le sol fissurer, et la faisant se bercer sous les rayons du soleil. Tout à coup, l’air se remplie d’une odeur marine, d’une odeur salée et d’algue verte… Une odeur d’eau et de mer. Elle se sentait tout à coup en harmonie, avec elle-même et la nature. Comme si rien de pouvait l’atteindre. Elle avait l’impression qu’elle avait mûrie depuis qu’elle c’était fait agresser par la bande d’homme, comme si le fait de se faire tabasser l’avait changer et avait changer sa perception des chose. Peut importe, elle se laissa guider jusqu’au barrière de sécurité du pont. Elle regardait l’eau turquoise vert qui se laissait emporter par le courant marin. Son regard se perdant dans l’horizon lointain, et ses pensées suivirent son regard, et ils se perdirent eux aussi. Elle était la, accoté au barrière à contemplé le tout et le rien, immobile, calme, heureuse.
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Sarah Burton

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MessageSujet: Re: Une personne de plus ou de moins [Libre]   Une personne de plus ou de moins [Libre] Icon_minitimeMer 28 Nov - 15:48

« C’était une journée comme les autres… » Me répétai-je sans cesse depuis minuit dans ma tête, une journée à en mourir, une journée où les rayons de soleil illuminaient les décombres de la ville et les rendaient presque beau. C’était une journée comme les autres, où il y avait toujours peu de monde qui sortait, mais toujours un peu plus que les semaines précédentes. Un jour comme les autres dont je ne devrai pas me soucier. C’est une journée où je continue de pleurer, la nuit, le matin, le midi, l’après midi, le soir… comme tous les jours non ? Sauf qu’en réalité, ce jour là, n’était pas comme les autres. Nous sommes le 25. Pas besoin de chercher désespérément la date dans votre calendrier ou agenda, nous sommes le 25. Et c’est une mauvaise date, point à la ligne... Ah ? Je vous intrigue ? Vous aimeriez en savoir plus ? Et moi je veux une Porsche ! Chacun son truc ! Vous croyez toujours que je vais vous le dire maintenant ? Autant rêver. Personne ne me fait de cadeau, ne m’offre un véritable et sincère sourire, à quoi cela servirait il de le faire pour vous ? Je ne suis pas un cadeau, mes paroles non plus, autant vous y faire, ou alors, tuez moi ; j’adorerai ça.
Dommage, aujourd’hui il faisait du soleil. Bizarre, j’avais réellement l’impression que les éléments en ce 25, tendaient à me rire au nez et à me narguer. M’enfin qu’en sais je ? Tout le monde n’était peut être finalement pas contre moi… Ah ! La blague, j’aurai presque pu être optimiste aujourd’hui, mais c’est raté. En même temps, ça doit faire quelques années que j’ai perdu le peu d’innocence qui me restait, et depuis quelques mois, j’ai perdu toute bonne humeur qui aurait pu apparaître dans mon cœur, être, âme, ce que vous voulez en fait. A quoi ça sert de faire partie du camp des gentils ? Apparaître cons, adorable, généreux, qu’est ce que ça rapporte à la fin ? Tout le monde abandonne tout le monde, et je pense que quand on aime quelqu’un, le contrat imaginaire stipule qu’on ne doit pas abandonner l’être chéri. Malheureusement, on m’a fait deux fois le coup avec les personnes que j’aimais le plus, et que je croyais en tout humilité qu’ils m’aimaient extrêmement eux aussi. Cette petite histoire bien pathétique prouve donc, enfin me prouve donc que je ne vois pas en quoi je devrais encore faire confiance, en quoi je devrais encore sourire, en quoi devrais-je croire en l’Homme, en l’Humanité ? A trop y croire et espérer, on finit par être consumés.
Vu ce temps exceptionnel, et ma bonne envie d’y mettre fin, je pris une bonne douche, bien froide histoire de me réveiller même si je suis en total manque de sommeil. Habillée en noir comme d’habitude, je porte mes lunettes de soleil, mouche, pour ne pas qu’on puisse voir mon regard, si vide de vie, si vide d’envie. Enervée, je ne pouvais plus contenir ma haine, mon mépris envers la « vie ». Cette putain qui s’acharne à me garder en vie alors que je n’en avais pas envie. Existe il un Dieu au ciel ? Je n’y crois absolument pas, mais il doit bien avoir un guignol qui s’assume avec mes nerfs. Espérons qui s’étouffera avec ses marionnettes le plus vite possible, sinon tant pis, je lui ferai bien bouffer un jour. Les mains dans les poches, je cherchai un endroit assez calme pour pouvoir me détendre sans attendre jacasser des bécasses, voir des tourtereaux se sourire et s’aimer, des enfants courir dans les rues : tout ceci me dégoûter. Comme à ma plus grande habitude, j’arrive au pont, qui peut lâcher à tout moment. C’était peut être pour ça que j’y allais justement ? J’adore jouer, jouer avec le feu, tester les limites, mes limites et pourquoi pas les atteindre, ça en deviendrait plaisant. Le ciel bleu commençait à changer, ça me plaisait, je savais que c’était moi et simplement moi qui maîtrisait ça. Ma colère sortait peu à peu, et j’utilisais mes pouvoirs pour passer mes nerfs. Les rayons de soleil qui m’éblouissaient au travers de mes lunettes finirent par partir eux aussi, le ciel devenant de plus en plus sombre, de plus en plus gris au fur et à mesure que ma colère sortait.
Au fur et à mesure que j’approchais, j’aperçus la silhouette d’une fille, brune, de petite taille. On aurait dit moi, mais un peu plus jeune. Elle semblait perdue, son regard vide, mais qui semblait gardait une dose enfantine. Elle souriait c’est vrai, j’avais l’impression qu’elle semblait presque heureuse, et ses nombreuses traces sur son visage de malheur disparaissaient presque. C’est marrant, si je ne l*’avais pas perdu, elle aurait vraiment été mon double. C’est drôle et intriguant à la fois…Je m’approchais d’elle, j’avais comme un pressentiment, comme si, lui parler pourrait presque me faire du bien, peut être que je pourrais peut être me trouver un peu de compagnie non médiocre.Arrivée à sa hauteur, je me décide de m’asseoir à terre, un « sitting » ; ne vous ai-je pas dit que je suis fainéante ? Je prends mes aises, ne touchant pas à mes cheveux, qui volaient d’un coté et de l’autre avec le vent qu’il faisait, et qui commençait à être de plus en plus fort. J’adore les tempêtes. Je tourne la tête vers elle, la pauvre, elle doit se demander sur quelle folle elle a du encore tomber. La meilleure et la plus glauque surement.
" Salut " finis je par dire en décollant mes lèvres depuis bien longtemps. Ca fait bizarre de parler, j'ai l'impression que ça fait une éternité que ça ne m'est pas arrivé. Je détourne mon regard d'elle, je n'allais pas non plus la regarder des heures et des heures jusqu'a ce qu'elle daigne me repondre. Je tourne la tête vers ce superbe paysage mort qui s'offre devant moi. J'adore les morts. J'adore les ruines. J'adore le sang. J'adore détruire.
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MessageSujet: Re: Une personne de plus ou de moins [Libre]   Une personne de plus ou de moins [Libre] Icon_minitimeMer 5 Déc - 6:19

[Hors-Jeu : Désolé, je sais que c'est un peu court, mais j'vais essayer de me rattraper au prochain d'accord ma Mila (a) <3 J'te Kifffff .^^]

Fay fixait toujours l’horizon laissant vagabonder ses pensées et par la. Elle laissant le contrôle de son corps à quelque chose qu’elle ne pouvait réellement identifier. Était-ce elle qui contrôlait, et se qui c’était échapper au loin dans la direction de son regard était son malheur ? Peut-être bien. Puis elle sortit de sa transe, car selon elle quelque chose clochait. Il n’y avait pas l’ombre d’un seul nuage durant le trajet pour venir jusqu’au pont et voilà que étrangement le ciel se couvrait de nuages grisâtres. Peu importe, elle espérait simplement qu’il ne commence pas à pleuvoir, quoique finalement, elle aurait bien aimée. Car elle adore marchée sous la pluie, et oui ce n’est pas la plus grande fanatique du soleil, pas comme ces pimbêches qui se pavane en maillot de bain sur la plage. Non une bonne marche sous la pluie froide et glaciale pour pleurer et se remettre les idées en place.

Tout à coup elle se retourna, et elle vit une jeune femme au loin, mais elle n’y porta pas vraiment une grande attention. La jeune femme au loin ne l’avait pas remarquée, ou du moins pas encore. Fay retourna à son point de fixation, ou son point d’espace vide ou elle semblait regarder l’infini. Peu importe.

Puis tout à coup, elle eu l’impression que son point de transe avait disparu, impossible de retrouver l’état dans laquelle elle était auparavant. Comme si le fait de se détourner et de regarder ailleurs avait dissiper son bonheur se laissant envahir de nouveau par sa tristesse et la haine qui coulait des ses veines. Et si ce n’était pas le fait de se détourner, mais plutôt la jeune femme qui l’avait perturber à ce point… Mais trop tard, elle devait être déjà de l’autre coté du pont, mais à sa grande surprise non. La femme vint s’asseoir derrière elle. Oui elle vint s’asseoir, un peu étrange comme façon d’aborder quelqu’un, mais qui était elle pour juger quelqu’un qu’elle ne connaissait même pas. Puis un Salut se fit entendre. La voix était quelque peu rouillé surment quelqu’un qui parle pas souvent pensa Fay.

Fay se retourna calmement puis elle vit que c’était bien la femme qu’elle avait aperçue toute à l’heure. Elle la regardait pendant l’espace d’une seconde même pas puis elle répondit :


« Salut, dit-elle histoire d’entamer la conversation. Moi c’est Fay. »

Elle ne savait pas si elle devait réellement se présenter dans se genre de situation, mais bon peu importe elle était polie au moins, même si elle s’en fichait royalement. La jeune femme était assise par terre à son aise, et ces lunettes empêchaient Fay de pouvoir la regarder dans les yeux. Pourtant elle le savait que cette fille avait quelque chose de spécial, assez pour détourner son attention, mais la question était quoi ? Elle n’avait pas envie de parler de problème et de se poser des questions, aujourd’hui elle était plutôt d’humeur à la flemmardise, alors pas trop de questions pour son tout petit cerveau.

Fay ne savait plus trop quoi faire, elle attendait que l’inconnue se présente ou que au moins elle lui parle pour lui dire quelque chose mais bon la réponse tardait. Elle fixa au loin de nouveau voir si elle ne retrouverait pas cette paix intérieure et cette tranquillité d’esprit qu’elle avait trouvée toute à l’heure, mais rien… Tout lui semblait soudain terne et fade, comme dénudé de vie. Le paysage semblait lui apparaître comme il était vraiment, quoiqu’elle ne se sente pas choquer. Elle regardait les alentours puis en ayant marre elle décida de faire comme l’étrangère mouche… Elle décida de s’asseoir à son tour. Pourquoi pas, il n’y a pas de panneau interdisant de s’asseoir sur un trottoir et qui viendrait les arrêtés ? Les autorités, du moins le peu qu’ils en restent ont des choses beaucoup plus importante à faire que s’occuper de deux cinglés comme elles. Mais ce que Fay ne savait pas, c’est que la femme à coté d’elle bouillait de l’intérieur, et qu’ensemble les autorités devraient peut être les séparés pour pas trop faire de grabuge un peu partout dans la ville. Mais qui sait, sa ne saurait tarder…

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