La fin?... [Libreeee]

Et voila un jour de plus dans la vie de Nancy Evans , un jour de plus sans saveur , un jour de plus sans amour , un jour de plus seul… Encore une fois cela faisait des jours voir des semaines que la jeune femme n’était pas sortit de chez elle, elle était cloîtré dans son petit appartement elle avait même refusait d’ouvrir a sa sœur lorsqu’elle était venue la voir. Pourquoi ? C’est simple , elle ne voulais pas qu’on la voit dans un états aussi lamentable , elle ne voulais pas qu’on la regarde avec pitié et compassion , non elle détestait faire ça et elle détestait encore plus quand c’était elle qu’on fixait avec des yeux qui disait « la pauvre je la plain ».

Nancy était assise contre un mur les genous replier vers sa tête et ses bras autour, elle revoyait la scène du jours ou ses parents était mort, les pompiers qui sortait des dizaine de corps sans vie des décombres, sa sœur qui pleurais et elle qui était pétrifier devant tant d’horreur, tant de souffrance et de désespoir. Se jour la tout ses sentiments l’ont envahis… mais ils ne l’ont hélas jamais quitté… encore aujourd’hui elle est submerger par la peur, la souffrance et la tristesse. Cela faisait plusieurs heures qu’elle était assise dans un coin de son appartement seul a penser, elle décidas de se lever pour manger un peut mais son frigos était vide, rien d’étonnant vus que c’était sa sœur qui lui apporter la nourriture et que la dernière fois elle ne lui avait pas ouvert. Elle du se résigner a sortir de chez elle… Nancy enfilas une veste noir par-dessus son pull blanc puis elle mis des botte a talons plat, l’idéal si elle avait besoin de fuir. Elle s’approchas de sa porte et elle eu comme un vertige, la peur de se retrouver seul dehors face au monde hostile sûrement. Elle posas sa main sur la poignet puis au bout de longue minute elle se résignas a ouvrir, elle mis une écharpe autour de son cou et elle fermas la porte a clé, elle restas quelques minute dans le couloir de l’immeuble contre sa porte en prenant de grande bouffé d’air. Elle aurait voulus ne pas aller plus loin, mais elle le devait… Elle descendit l’escalier en faisant attention de ne croisé personne, au bout de plusieurs minute elle se retrouvas dehors, la nuit venait de tomber se qui rendait les rue encore plus dangereuse mais maintenant il était trop tard pour reculer. Elle mis ses mains dans ses poches et elle marchas d’un pas rapide la tête baisser, ses cheveux tombant légèrement devant son visage.

Après une dizaine de minute elle réussis a atteindre une échoppe qui restait ouvert assez tard, les prix était assez exorbitant mais au moins ils avaient de bon produit. Elle entras en saluant d’un simple signe de tête puis elle se dirigea vers le rayon du lait ou autre produit. Malheureusement la malchance sembler la poursuivre, alors qu’elle observer les produit un homme armée entras dans le magasin, tout les clients cet a dire cinq a peine, se mirent a terre par réflexe. Nancy en fis de même, elle restas assise a terre derrière un rayon, son rythme cardiaque atteignit des records, pourquoi fallait-il que sa arrive a elle ? Enfin, elle aurait dus s’en douter se genre de chose arrive fréquemment depuis quelques temps… Alors qu’elle essayait de s’imaginer ailleurs un coup de feu se fit entendre, elle ouvras grands les yeux fixant un point invisible devant elle puis par réflexe elle penchas la tête sur le coté pour voir la scène. La elle vus le propriétaire de magasin a terre en sang, le braqueur était déjà partit lui ! Elle regardas alors tout les clients s’enfuir en courant… elle marchas alors a quatre patte vers le propriétaire et son instinct d’infirmière repris légèrement le dessus sur sa peur, elle mis ses mains sur la plaie en sang puis elle posas son oreille sur son torse pour entendre son cœur battre mais pour l’instant il n’y avait rien, son visage était couvert de sang du coté droit mais pour l’instant elle ne faisait pas attention. Mais alors qu’elle aller essayer de le sauver l’homme fermas complètement les yeux, cette fois c’était certain il était mort. Nancy revoyait les images du jour ou ses parents était mort des larmes commençait a couler sur son visage, elle essayas de faire un massage cardiaque a l’homme mais c’était trop tard maintenant. Soudain elle entendit des sirène de police elle se levas alors en regardant ses mains en sang et elle se mit a courir hors du magasin, elle courus sans s’arrêter sur des kilomètre les yeux plein de larmes. A force de courir elle se retrouvas sur le Verranzo Narrows Bridge, un grand pont, elle continuas de courir jusqu’à se retrouver en son centre. La structure n’était pas très solide mais pour l’instant elle s’en moquer… elle regardas ses mains qui était pleine de sang, son visage aussi mais elle ne pouvait pas le voir seulement le sentir. Les larmes coulaient toujours sur son visage sans qu’elle puisse le contrôler, elle regarda par-dessus la rambarde en fixant le vide, elle pouvait en terminer maintenant…

[J’espère que ça ne te dérange pas Razz

]

La nuit venait de tomber une nouvelle fois sur un New York dévasté. Cloîtrée dans son appartement miteux qu’elle avait récupéré par un coup de chance, Grace lisait un livre qu’elle avait trouvé par terre devant son immeuble durant l’après-midi, lorsqu’elle rentrait de courses. Seulement voilà, il avait fallu qu’elle tombe sur un roman à l’eau de rose dans lequel la jeune mariée perdait son bien-aimé à la guerre. La toute première guerre, celle qui avait fait naître les fameux « Poilus » Français. C’était étrange que ce détail revienne à la mémoire de la quadragénaire. Quoi que, ce devait plutôt être la preuve qu’avant que les bombes ne tuent la majorité de la population américaine, Grace était une femme qui aimait se cultiver de toutes les manières possibles. Livres, cinéma, musées et carrément des voyages dans les différents pays. Adrian et elle, lorsqu’ils n’avaient pas encore leurs enfants, pouvaient passer des jours à écouter des gens d’un certain endroit du monde expliquer en détails tous leurs us et coutumes. Aujourd’hui, ce n’était plus possible. Adrian était mort, tout comme les enfants que le couple avait eu ensemble. La vie de Grace ne se résumait plus qu’à une « survie ». C’était tout ce qui lui restait, et rien de plus. Le Destin avait voulu que Mrs Campbell soit la seule rescapée de sa famille entière. Qu’avait-elle fait pour mériter cela ? Rien, et pourtant.

Cette nuit-là, Grace n’arriverait pas à dormir. Le fait qu’il lui soit déjà impossible de se concentrer sur les mots que contenait son livre était un signe. Et puis, il était inutile de parcourir les pages d’un bouquin qui aurait très bien pu être son autobiographie. Hors de question de continuer à se morfondre, Grace Campbell n’était pas faite de ce bois. Non, c’était une battante. Aujourd’hui, elle avait trouvé un but : aider les membres du groupes dont elle faisait partie à sauver New York des griffes de certaines personnes avides de pouvoir. Refermant les pages du vieux roman tout déchiré, la quadragénaire se leva de son canapé grinçant et mit son manteau. Le temps n’était pas très chaud dehors, c’est pourquoi elle remonta le col de son habit et ajouta une écharpe avant de quitter son logement.

Le soleil était couché, mais Grace n’avait pas peur. Pourquoi devrait-elle l’être ? Après tout, ne possédait-elle pas un pouvoir qui lui permettrait de se sortir de n’importe quel conflit éventuel ? Si on tentait de l’agresser, il lui suffirait de pousser un tout petit peu l'assaillant pour qu’il se retrouve projeté à plusieurs mètres. Rassurée par le fait d’avoir cette capacité, Grace avança tranquillement le long de la rue. Elle arriva assez vite près du Verrazano, ce pont qui autrefois avait plus d’allure que n’importe quel autre dans la Grande Pomme. Un nombre incalculable d’utilisateurs le prenaient tous les jours pour se rendre au travail, ou bien simplement parce qu’ils avaient quelque chose à faire de l’autre côté. Tous les touristes venaient le voir et le prendre en photo. A cet instant précis cependant, le Verrazzano ne ressemblait plus à rien. Il menaçait même de s’effondrer à tout moment, voilà pourquoi plus personne ne l’empruntait. Plus personne, vraiment ? Alors pourquoi Grace apercevait-elle quelqu’un au loin, se découpant sous les petites lumières des réverbères qui subsistaient encore – par pur miracle ? Mrs Campbell s’approcha doucement et silencieusement. Ses chaussures ne faisait aucun bruit, ce qui l’aida bien à ne pas se faire immédiatement remarquer.

Une jeune femme, blonde dans la vingtaine – du moins à ce qu’elle pouvait en juger depuis sa position – regardait par-dessus la rambarde, semblant complètement perdue dans ses pensées. Que voulait-elle faire ? Pourquoi insistait-elle autant ? S’apprêtait-elle à faire une bêtise ? Visiblement, c’était bel et bien le cas, sinon que ferait-elle là toute seule ? Grace s’avança à nouveau, doucement. Elle ne voulait pas lui faire peur, et bien que sa prudence lui soufflait de ne pas se mêler de cette affaire, il lui était impossible de laisser l’inconnue se jeter dans le vide sans tenter de l’en dissuader par tous les moyens. La générosité était une vertu que Mrs Campbell possédait depuis sa plus tendre enfance, alors pourquoi cela serait-il différent aujourd’hui ?

- Excusez-moi, Mademoiselle…

La jeune femme se retourna. Grace eut un sursaut de surprise lorsqu’elle aperçut le sang sur ses mains. Elle tenta de bafouiller quelque chose mais en fut incapable. Non pas qu’elle ait peur, encore une fois. L’inconnue pourrait être une meurtrière que ça ne changerait pas grand-chose : un assassin ne possédait pas une force surhumaine. Les yeux de la jeune blonde semblaient si perdus et affolés, que Grace doutât qu’elle soit réellement quelqu’un de mauvais. Alors que penser ? Qu’avait-il bien pu lui arriver ? Elle ne semblait pas blessée le moins du monde, ça ne pouvait donc pas être son propre sang… A qui appartenait-il ?

- Que s’est-il passé ? demanda Grace, les yeux grands ouverts.

Elle espéra que cette simple phrase délierait la langue de son interlocutrice présumée, mais plus que tout, Mrs Campbell pria pour que celle-ci ne soit pas « méchante » et qu’elle ait simplement été victime de quelque chose de grave contre lequel elle n’aurait rien pu faire…

[Si si sa me dérange oust xD non je rigole nul ma blague hein ? xD ==> [] ]

Nancy fixer toujours le vide qui s'offrait a elle , elle regardait parfois ses mains couverte de sang , les larmes couler toujours sur son visage inconsciemment , oui d'habitude elle déteste pleurais mais tout a changer pour elle depuis la mort de ses parents. Elle se tenait sur se pont seul pencher légèrement dans le vide a fixer un point invisible se trouvant en bas. Des tas de chose fusèrent dans a tête, elle se disait qu'elle pouvait en finir maintenant avec tout ses problème et pouvoir être en paix ! Oui, a ce moment précis, elle pensait a mourir elle pensait a quitté se monde même si sa soeur vint a son esprit... après tout aujourd'hui elle n'était qu'un boulet que Cheryl traîner derrière elle... Nancy se persuader qu'elle serait bien mieux sans elle, qu'elle pourrait recommencé tout a zéro sans regarder en arrière.

Alors qu'elle était complètement perdu dans ses pensé et dans ses souvenir elle entendit une voix , elle tournas la tête rapidement vers la personne qui était une femme âgée enfin la quarantaine un peut prés. Elle vus le regard que lui lanças l'inconnue, rien d'étonnant, Nancy était couverte de sang sur son visage et surtout sur ses mains, on aurait pus la prendre pour une folle sortit de l'asile et qui avait tuer quelqu'un en route. Lorsque la quadragénaire lui demandas se qui c'était passer, Nancy ne réussis pas a dire un seul mot... Elle regardas une nouvelle fois ses mains et toute les images du braquage revint a son esprit, elle voyait surtout le vendeur a terre en sang et elle essayant désespérément de le maintenant en vie sans résultats. Elle regardas l'inconnue avec des yeux toujours pleins de tristesse et de peur puis par réflexe elle se mit à courir à l’opposé de la femme pour s’enfuir.

Mais voila, la mal chance continuas de suivre Nancy, le pont n'était vraiment pas du tout solide rien d'étonnant après tout se qu'il avait subis, il menacé de s'effondrait a tout instant. Alors que la jeune blonde courait et qu'elle n'était qu'à une vingtaine de mètre de l'inconnue, un morceau du pont céda sous ses pieds, elle fit une chute aprés avoir poussé un cris de peur mais elle réussis à se rattraper à un bout de métal qui dépassé. Se pont était vraiment dans un piteuse états, rien a voir avec ce qu'il représenter avant. Nancy était maintenant suspendus au dessus du vide, le tige de métal a laquelle elle se tenait était prête a tombé de plus ses mains en sang ne permettait pas une très bonne accroche... Elle regarda le vide pendant un instant essayant de s'agripper à autre chose mais pour l'instant c'était peine perdue...

[Héhé je met un peut d'action Cool

xD]

Le regard de Grace s’adoucit lorsqu’elle remarqua que l’inconnue était tout aussi pétrifiée qu’elle. Ses yeux laissaient transparaître de la tristesse, mais surtout de la peur et de l’incompréhension. C’était presque certain maintenant : la jeune femme n’avait pas tué. Quelqu’un était plutôt mort dans ses bras. Du moins était-ce ce que Grace s’imaginait désormais, alors que son regard passait toujours du visage aux mains de cette personne, tous deux couverts de sang. La question que Mrs Campbell venait de poser eut un effet des plus inattendus : elle aurait songé que cette jeune blonde lui raconterait tout, ou bien lui hurlerait de s’en aller et se mêler de ses affaires. Au lieu de ça, elle se retourna et commença à courir.

- Non, attendez !

cria Grace derrière elle, commençant à la poursuivre.

Peut-être faisait-elle une erreur en souhaitant plus que tout aider cette inconnue, mais son instinct lui soufflait que quelque chose n’allait pas pour elle. Après tout, la quadragénaire ne venait-elle pas de la trouver en train de fixer l’eau de manière si insistante, qu’on aurait dit qu’elle allait se suicider !? Quel meurtrier serait prêt à se tuer juste après avoir commis un homicide volontaire ? Non, cette femme n’avait rien fait, absolument rien, et Grace en était pratiquement persuadée.

Soudain, il y eu un bruit fracassant accompagné d’un cri. La fuyarde disparut du champ de vision de Mrs Campbell, qui comprit alors ce qui venait de se passer. Un segment du pont venait de céder à cause de leurs pas, l’armature n’étant déjà plus du tout solide. Quelques secondes plus tard, un « splash » se fit entendre alors que le morceau de béton touchait la surface de l’eau. Il finirait sa course tout au fond… Et la jeune blonde alors ?

- NON !

hurla Grace, courant encore, complètement inconsciente que ce qui venait d’arriver à l’autre personne pouvait lui arriver à tout moment.

Mais à cet instant-là, plus rien d’autre ne comptait que le sauvetage de cette femme. Car elle était encore là, accrochée à un bout de métal, suspendue à de nombreux mètres au-dessus de l’eau. Grace se dépêcha de s’agenouiller auprès d’elle, et lui prit la main pour la remonter presque aussi facilement que s’il s’était agi d’une plume. A cet instant précis, le danger qu’elle était peut-être en train de courir ne lui venait pas à l’esprit. L’inconnue savait désormais que Grace possédait une force surhumaine, comment aurait-elle fait pour ne pas le noter après ce qu’il venait de se passer ? Alors… Et si elle pensait – à juste titre – que sa sauveteuse était l’une de ces « mutants » ? Et si elle allait la dénoncer à quelqu’un, n’importe qui ?

Puis, d’un seul coup, tout ce raisonnement arriva au cerveau de Grace. Il fallait qu’elle trouve quelque chose à dire pour justifier cette force. Après avoir aidé la rescapée à se relever, elle souffla un grand coup et lança d’une voix quasi sûre d’elle :

- Wouah, c’est fou ce que l’on est capable de faire quand on a un surplus d’adrénaline !

Maintenant, restait à espérer que cette constatation ne ferait pas tiquer la jeune blonde…