Seul (PV avec Teresa)

Alex Sherpargne était un soldat déchu. Il était arrivé depuis quelque temps à New York. Il était un vrai ghost, personne ne le voyait et le remarquait. Volait des armes et offrait ses services de tireur d'élite a qui compte voulait de lui. Il était seul et sans espoir. Il avait appris à survivre dans cette ville. Il vivait dans son sac à couchage depuis qu'il était arrivé. Il s'était trouvé un vieux entrepôt désaffecter dans le cartier commercial et il y avait établie domicile. Il était mal rasé, ses cheveux étaient graisseux et il avait une haleine de quoi réveiller un mort. Il avait pris contact avec des personnes de l'armé qui lui avait offert un job de surveiller le cartier de Brooklyn. Objectif : protéger les civils et les aidés. Il s'était affairé à ce travail depuis son arrivée. Il faisait le tour du cartier en fessant attention à tout. Il ne portait pas son uniforme militaire, car ce n'était pas du tout discret. Il voulait se mailler à la foule et passer discrètement. Ce matin-là il avait lessé la caisse avec son calibre 50 et avec son p90 dans son entrepôt. Il n'avait que sur lui un 9mm, son don et son agilité pour se défendre. Il se promenait parmi la foule et sans se faire remarquer. Il voyait le monde en gris depuis le jour du début de la fin. Il avait perdu tant d'amis cette journée et il avait souffert d'un profond traumatisme. À chaque fois qu'il dormait, il faisait d'affreux cauchemar. Il revivait les pires moments de sa vie à chaque fois qu'il fermait les yeux. Chaque nuit était pire que la précèdent. Il arrivait des fois qu'il ne ferme pas les yeux pour ne pas dormir. Il se pensait tout petit dans ce monde et il faudrait qu'il trouve sa place ou il mourrait.

Alex se promenait tranquillement dans le secteur commercial de Brooklyn. On l'avait avertis qu'il y avait un acheteur d'arme dans le cartier et que celui-ci fournissait les tueurs de personnes possédant des dons. Les gens de l'armée lui avaient donné un AK-47. Modèle russe fabriqué durant la guerre froide. Il voulait le vendre à l'acheteur pour pouvoir l'arrêter et le mettre sous les verrous. Il avait son plan et il comptait arrêté se dangereux criminel. Alex avait la valise contenant l'arme, elle était de métal gris et elle avait des verrous à combinaison. Alex marchait parmi la foule et il se renseignant sur l'acheteur. On lui dit qu'il serait dans un ruel proche dans 30 minutes. Alex si rendit avec lenteur. Arriver sur place il s'accota sur le mur et il attendit. Il regarda sa montre et il était 11 :39. Aucune trace de l'acheteur. Alex s'impatientait et se dit que celui-ci ne viendrait jamais. Soudain, on vit un homme arrivé. Il avait la peau noire, il portait un feston cravate et avec un look de gangster. Celui-ci s'avança et arriva devant Alex et dit:

-Hey men qu'es que tu veux. Ta quelque chose qui pourrait m'intéresse à ce qu'on m’ait dit. C'est quoi.

Alex le regarda dans les yeux et il lui montra la valise. Il fit le code sur le coter et celle-ci s'ouvrit. Les yeux de gangster s'ouvrirent très grand. Il dit:

-Ouin, ouin, ouin. J'crois que c'est ce qu'il me faut. Je t'en donne 500$.

Alex le regarda bizarrement et dit:

-500 seulement. Cette arme en vaut bien plus et je sais que tu as bien plus.

Alex ferma la valise devant la figure du noir. Celui-ci le regarda et il dit:

-Je t'en donné 500 pas plus. C'est à prendre ou à léser.

Alex dit d'une voie assez grave:

-Bien l'affaire ne va plus… Je vous arrêts, pour trafic d’arm…

Le gangster mit la main dans sa poche et il sortit un couteau. Il sauta sur le soldat avant que celui-ci ne finis sa phrase. Alex tomba sur le dos et il essaya de dégainer son 9mm, mais son assaillant était plus rapide et il lui planta le couteau juste au niveau des côtes du côté droit du corps. Alex sentit la morsure de la lame et cela le fit beaucoup souffrir. L'assaillant lui donna un deuxième coup juste au niveau de la taille du côté gauche du corps. Alex avait mal et il voyait du sang couler, son propre sang. Le gangster se releva et asséna une série de coups de pieds à Alex. Il se dit que peut-être qu'il aurait dû refuser ce travail. Après quelques minutes à se faire frapper, le noir arrêta. Il ramassa la valise et il partit en courant laissent pour mort le soldat. Il avait très mal et se mit en boul. Il souffrait beaucoup. Il mit la main droit sur sa blessure à la tailler et la main gauche sur l’autre. Il essayait d'arrêter l'hémorragie. Il aurait dû prendre son gilet part balle mais, il s'était dit que cela allait lui servir à rien. Il était habitué au combat à distance pas au corps à corps mais, il savait très bien se battre de proche s'était juste qu'il n'avait pas eu le temps de dégainer. Après plusieurs minutes, l'hémorragie ne stoppa pas et Alex commença à se dire que c’était foutu, qui allait mourir ici. Il respirait avec difficulté et avec irrégularité. Il se dit au plus profond de lui:

**Bravo c'était super comme première mission, vraiment bravo, je suis un imbécile.**

Alex évita de bouger, car il risquait de perdre plus de sang. Il se mit à lancer des plaintes. Il regarda sa montre et il vit 11 :45. Il allait devoir annoncer à ses patrons qu'il venait de perdre un AK-47 et que celui-ci était en circulation, il avait raté sa première mission depuis le début de la guerre. Ce n'était pas digne d'un ghost. Il resta là dans l'espoir que quelqu'un l'aide même s'il savait que personne ne viendrait. Cette ruel était très peu fréquenté. Il se dit que mourir ici était vraiment moche et qu'il n'avait pas survécu toutes ses années dans l'armé pour mourir ici, tout seul.

Teresa avait finit ses courses alimentaires. Elle s'apretait à rentrer chez elle, lorsqu'elle entendit des cris, puis vit une foule de New-Yorkais, immobiles entourant une personne à terre. Elle se frayait un passage en disant qu'elle était médecin. Il vit un jeune homme blessé à coups de coteaux. Il avait deux entailles importantes.

Elle cria :

"Est-ce que quelqu'un a appelé le 911 ?"

Personne ne répondit à la jeune femme. Alors celle-ci reprit alors :

"Qu'on appelle le 911, vite c'est urgent ! Et qu'on m'apporte des compresses. Bougez-vous ! Il y a une pharmacie à quelques pas."

Puis elle s'adressa au blessé :

"Ne vous inquiétez pas, les secours seront bientôt là. En attendant, je vais faire un point de pression avec les compresses, vous perdrez ainsi moins de sang."

Les compresses arrivèrent et Teresa commença les soins. La jeune femme parla aussi avec le blessé car elle ne voulait pas que ce dernier s'endorme et de plus, elle voulait en savoir plus sur celui-ci, pour en informer les secours qui ne devraient pas tarder à arriver.

Tout d'abord elle se présenta :

"Je suis Teresa Garcia, je suis médecin, je vais commencer à vous soigner en attendant les secours".

Puis, elle lui demande son nom, son âge, s'il était en bonne santé, s'il suivait un traitement, et enfin s'il désirait qu'on appelle quelqu'un.
La plupart des questions étaient donc d'ordre médical. Ce sera du temps gagné qui permettra au blessé de se faire soigner plus rapidement et de perdre moins de sang.
Celle-ci écouta attentivement les réponses du jeune homme.

Environ un quart d'heure plus tard, les secours arrivèrent enfin. La chercheuse s'adressa à ces derniers en leur décrivant l'identité et l'état du blessé. Puis, ce dernier fut transporté dans l'ambulance. Teresa demanda à l'accompagner en prétextant que souvent les urgences sont débordées et qu'elle se chargera elle-même des soins. Les ambulanciers acceptèrent et les voila partis, en direction de l'hôpital.

Alex avait la tête qui tournait. Il commençait à voir flou. Soudain, il vit la foule et une dame lui offrit de l'aider, mais il avait de la difficulté à voir son visage. C'était comme s'il voyait un fantôme. Elle l'aidait bien et les saignements diminuaient. Alex avait perdu beaucoup de sang et sa peau commençait à devenir blanche. Elle lui posa des questions d'ordre médical. Alex tenta de prononcer quelques mots et il réussit avec difficulté:

-Je me...(Alex sera des dents, car les blessures le fessait souffrir) nomme Alex Shepargne... Je suis en bonne santé, mais... à ce que vous pouvez voir je ne vais pas bien en ce moment... Je n'es personne à joindre... Je suis seul.

Quand Alex prononça qu'il n'avait personne à joindre il eut une espèce de mélancolie. Il se souvint de ses parents et de ses amis qui étaient tous mort. Il eut l'impression que son coeur venait comme d'arrêter même s'il continuait à battre. Il avait mal physiquement et mentalement. De vielle blessure qui ne guériron sûrement jamais. Alex essaya tant bien que mal à répondre aux questions de la dame. Après un quart d'heure, l'ambulance arriva. Alex vit la civière arrivée et on le monta dessus. Il se dit:

**Maudit, c'est la première fois que je monte dans une ambulance. Si j'étais un gos j'aurais tripé, mais je ne crois pas que ses le temps de rire.**

Alex avait mal et l'hémorragie avait ralentis. Il n'avait pas peur de mourir même il se dit que s'il mourrait, il retrouverait ses amis et sa famille de l'autre côté. Alex n'avait jamais été croyant, mais selon lui il y avait quelque chose après la mort. Alex vit la dame qui l'avait sauvé monté à bord de l'ambulance. Elle devait sûrement venir pour l'aider. Les portes se fermèrent et l'ambulance partis. Le soldat sentait le sommeil venir. Il n'avait plus la force de se tenir éveillé. Il ferma les yeux quelque seconde et se dit:

**C'est fini. Je vais enfin voir ma famille.**

Mais une pensée lui traversa la tête. La dame avait tout essayée pour le sauver, il ne pouvait pas mourir tendis qu'elle avait tout tenté pour le maintenir en vie. Il ouvrit les yeux et regarda la dame. Alex se racla la gorge pour parler et il dit une voie quasiment morte:

-Merci... je crois que je vous dois la vie... juste question...vous connaissez mon nom et moi je ne connais pas le...(Alex l'achat une petite plainte de douleur) votre.

Alex voulait en savoir plus sur celle qui lui avait sauvé la vie. Il était intrigué. Alex essayait tout pour ne pas tomber dans les pommes et c'était difficile. Alex fessait de gros effort pour survivre. Alex savait qu'il était à un cheveu de mourir et que s'il ne fessait pas d'effort, il irait rejoindre ses ancêtres. Au plus profond de lui, Alex savait qu'il n'allait pas mourir. Ce n'était pas encore son heure, il en était sûr.

Je m'appelle Teresa. Je travaille en tant que médecin à l'hôpital. On va bientôt y arriver et je vous soignerai mieux. Je vous donnerais quelquechose pour que vous n'ayez plus mal et je refermerai vos plaies.

Allez tenez le coup, on y sera très bientôt

Teresa prit la main du jeune homme. Elle était peinée pour lui et voulait l'aider dans cette épreuve car elle savait que sa douleur était grande.

La jeune femme n'aimait pas voir l'autre souffrir. C'est une des raisons qui la poussèrent à se diriger vers la recherche et non à rester médecin et soigner les patients.

Et ne me remerciez pas. Tout ce que j'ai fait, est tout à fait normal.

Je ne comprends pas les gens et se regroupent pour regarder sans agir. Juste regarder ! Comme si c'était un spectacle de voir quelqu'un souffrir ! Ils auraient même pas appelé les secours si je leur avais pas ordonné.

Mais vous verrez dans un jour ou deux, vous irez mieux.

Teresa avait envie de réconforter son blessé, de lui caresser le visage, les cheveux, de le soulager devant sa douleur. Elle se demanda si elle n'était pas quelque peu attirée par ce dernier. C'est vrai que le jeune homme était son style : brun, un peu musclé mais pas trop, courageux et fort.

La jeune femme frémit quelque peu. Elle s'en voulait d'avoir eu de telles pensées alors que le jeune homme souffrait terriblement.

Alex avait mal, mais il s'accrochait à l'espoir. Teresa lui caressa le visage et elle lui caressa les cheveux. Alex eut un frisson et il était gêné. La présence de la chercheuse le réconfortait et cela lui fit le plus grand bien. Les mains de la femme étaient délicate et Alex se surprit à les trouver douces. Il se concentra pour voir et réussi enfin à voir la forme du visage de celle qui l'avait sauvé. Il trouvait le visage assez fin et doux. Magnifique était la seule chose qu'il avait en tête. Elle était d'origine latine à voir sa couleur de peau. Alex déduisit qu'elle était plus jeune que lui. Il la trouvait un peu à son goût. Quand il se mit à penser tout cela, il chassa ses pensées.. Il se trouvait un peu imbécile et il était gêné. Ses joues devinrent rouge. Il continua à regarder dans les yeux sa sauveuse. Il trouvait la scène assez comique. Alex était peut-être sur le point de mourir et il reluquait une fille. Il se trouvait ridicule. Alex voulut faire la discution pour ne pas que Teresa se rend compte qu'il était gêné. Il dit d'une voie un peu bas:

-Vous êtes médecin? Je suis un soldat disont, je n'ai plus vraiment de travail de mon côté. Vraiment ne refusez pas mes excuses, ils sont sincères. Je crois que j'ai eu de la chance de tomber sur quelqu'un comme vous.

Alex était extrêmement gêné. Il avait rarement durant sa vie parlée avec la gante féminine. Il n'avait pas vraiment de succès. Il avait le coeur qui battait vite et il se dit que c'était à cause des blessures, mais il se trompait. Il se mentait à lui-même. Il se trouvait vraiment imbécile. Il ne rougissait jamais même en présence des filles, mais là c'était différent. Il se dit qu'il était un vrai nigaud. Il la trouvait charmante et gentille. Il lui devait peut-être la vie. Au plus profond de lui il le savait.

HRP : Fait attention, change pas les actions, même si, ici, ce n'est pas très grave. Wink

Teresa a écrit:: Teresa prit la main du jeune homme. (...) Teresa avait envie de réconforter son blessé, de lui caresser le visage, les cheveux, de le soulager devant sa douleur.

Alex a écrit:: Teresa lui caressa le visage et elle lui caressa les cheveux.

Teresa écouta le jeune homme et ce que celui-ci lui raconta, l'étonna. Il disait qu'il était un soldat et sans travail. Ceci surprit la jeune femme car elle savait qu'on était en période de guerre et que l'on recherchait des volontaires. Alors tous les soldats seraient les bienvenus. Mais, une autre chose inquiéta la jeune femme. C'est que généralement les soldats sont dotés de pouvoirs. Peut-être le fait qu'il n'en ai pas, expliquerait qu'il ne soit plus soldat, se dit-elle.

Vous êtes un soldat, et vous me dites que vous n'avez plus de travail ? Comment ça se fait ? Vous étiez en mission lorsque vous avez été blessé ?

Ca faisait longtemps qu'on ne lui avait dit des choses aussi gentilles, et encore moins de la part d'un jeune homme. Teresa avait un petit ami au Mexique, mais ils se sont séparés quand la jeune femme a décidé de venir en Amérique. Il n'y avait pas de véritable histoire d'amour entre eux et donc la séparation mit terme à leur relation.
Et depuis son arrivée en Amérique, elle n'eut de véritable relations amoureuses ou même amicale. Certaines des ces connaissances disaient qu'elle travaillait trop. Possible, mais en tout cas, parfois elle se sentait un peu seule dans son appartement. Et oui, nous parlons bien de connaissances car Teresa ne les considèrent pas comme de véritables amis.

La jeune femme ne connaissait presque rien de son blessé, à part son nom et sa profession. Elle constata qu'il avait l'air de l'apprécier. Et chose étrange, c'était réciproque. Teresa ne savait pas pourquoi, car ce n'était pas dans ses habitudes. Elle regarda le jeune homme dans les yeux tout le long du trajet.

Alec regarda la dame dans les yeux. Elle lui dit:

Vous êtes un soldat, et vous me dites que vous n'avez plus de travail ? Comment ça se fait ? Vous étiez en mission lorsque vous avez été blessé ?

Alex ne savait pas trop quoi dire. Il était dans l'armé dans le passer mais il fut enrôler par les ghosts. Il était comme mort. Quand il eut le jugement dernier, les chefs de l'agence étaient morts et l'agence aussi. Alex était le dernier représentant de l'agence et il n'était plus qu'un fantôme. Il ne savait pas s'il devait le dire à sa sauveuse, cette information relevait de la sécuriter national. Alex avait juré,avant même de savoir se qu'était les ghots, de ne jamais révélé toute information que se soit sur l'agence. Il se dit que se secret, il l'emporterait dans sa tombe avec tout les autres. Il décida d'inventer une histoire pour cacher son passé. Il dit d'un voie lente:

-Je suis comme un milicien. Il prêne nimporté qui tant qu'il puisse tenir une arme. Je fesais ma ronde habituel quand j'ai vu des personnes louches. Je me suis approché et ils m'ont attaqué. Le reste vous le savez déjât.

Alex resta neutre sans expression. Il était un peu gêner de se qu'il avait penser tout à l'heure et il se toruvait vraiment comme un imbécil. Soudain le chauffeur de l'ambulance leur dit:

-On arrive bientôt, cela ne sera pu très très long. Accrochez-vous messieur, sa va aller.

Alex resta tranquil même s'il savait que la mort rodait proche au tour de lui.

(HJ: désoler de ne pas avoir corrigé je n'avais pas le temps. Dès que je l'aurais je le ferais. Je le jure.)

Donc ce n'était pas un soldat mais un milicien.
Teresa était rassurée par la réponse du jeune homme. Elle savait qu'en général, les soldats étaient des hybrides avec des pouvoirs. Il disait être un "milicien". Or d'après ses dires, il avait l'air d'avoir été recruté facilement "il prenent n'importe quel individu du moment que celui-ci puisse tenir une arme".Teresa n'avait aucun doute, le jeune homme blessé, couché sous son visage, devait être un homme. Un véritable être humain et non un hybride contaminé.
Ce dernier souffrait, et perdait du sang, malgré que les pansements que la jeune femme lui avait fait. Heureusement que l'hôpital n'est plus très éloigné. La jeune femme avait mal pour lui. Sans qu'elle le sache encore, le jeune homme ne la laissait pas indifférente.

avait crié l'ambulancier qui conduisait.
Cela rassura quelque peu la doctoresse, bien que cette dernière savait comment il était difficile de se frayer une route devant le bordel qu'était devenu la ville de New-York. Elle espérait que l'ambulance arrive plus vite et à l'hôpital, que ce ne soit plus que l'histoire de quelques instants. Elle voulait sauver cet homme, un véritable être humain au service des autres.

Accrochez-vous monsieur !

chuchotait-elle à son blessé.

C'était aussi audible qu'une prière. Et pourtant, au fond de son coeur, elle criait en espérant que le jeune homme s'en sorte. Elle savait qu'elle ferait tout en ce qui était en son pouvoir afin que sa prière se réalise.
Elle lui serra la main pour voir si son blessé répondrait à ses appels ou s'il commençait à s'endormir ...

Alex sentait la dame lui sèrer la main pour le maintenir éveiller. Il ne voulait pas la lesser comme cela. Il devait faire l'efford de survivre, sinon tout ceux qui c'était sacréfier pour lui serait mort pour rien. Il s'accrochait à la vie du mieux qu'il pouvait et il ne devait pas perdre espoir. Il regarda la dame pour garder son esprit actif, pour éviter de s'endormir. Soudain il sentit que l'ambulance décèlairait. Ils étaient arriver à l'hôpital. Les portes de l'ambulance s'ouvrire et les deux ambulanciers dessendir la civière d'Alex. La dame suivait Alex et elle ne lui lâchait pas la main. Il ne voulait pas lâcher la vie ainsi. Alex la regarda dans les yeux et dit:

-Merci je vous dois beaucoup... vous êtes la meilleur... Teresa...

La civière fut amener vers le bloque opératoire pour se charger du soldat. Il espèrait survivre pas pour lui même pour la dame qui lui avait sauver la vie. Il lui devait beaucoup.

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